Ce qu'on a pensé de Sans elle... :
« ce qui nous ébranle le plus dans ce récit, c’est probablement la plume sans concession de l’auteure qui, à travers un regard extralucide sur la vie, sur la mort, dissèque tout jusqu’à la moelle. [… ] C’est une lecture qui vous retourne l’âme dans tous les sens. »
(Les libraires, Rentrée 2015, Septembre-Octobre, No 90)
Ce qu'on a pensé de Mer intérieure... :
« l'envoûtant deuxième roman
d'Andrée Laurier »
« cet univers n'a rien de banal ou de convenu »
« Si Mer intérieure m'a à ce point charmé,
c'est en raison de ses qualités stylistiques... [Une] écriture
lyrique mais sans excès, sensible et heureusement dénuée
de sensiblerie...[qui] témoigne d'un souci manifeste de la
musicalité de la phrase... avec dans les voiles un puissant
souffle de poésie. »
« une écrivaine sur laquelle il faudra désormais
avoir un oeil vigilant. »
(Stanley Péan,
«La mémoire et la mère», La Presse,
6 février 2000)
« Immédiatement, on est plongé
dans la poésie. L'écriture poétique, très
élégante, d'Andrée Laurier ne se dément
pas tout au long de l'ouvrage. »
« D'ailleurs, l'eau, symbole amniotique, convient tout à
fait au sujet exploité, à savoir la naissance à
soi, la conquête de l'identité. »
« À partir de l'amnésie..., l'auteure se livre
à des considérations intéressantes sur le non-être,
sur la possibilité de repartir à neuf. »
(Lise Lachance, «Tous
les fleuves vont à la mer»,
Le Soleil, 5 février 2000 )
« cet univers chargé de songes et de poésie,
qui interroge l'existence avec courage et humilité »
« mystique, avec de légers accents ésotériques
»
« Andrée Laurier a une voix bien à elle, belle
et exigeante... qui impose le respect »
(Marie-Claude Fortin, «Eaux
profondes»,
Voir, Vol.14 No 7, du 17 au 23 février 2000)
« Andrée Laurier sonde l'inconscient,
tente d'en dégager un passé qui nous est tous commun.
Le décor, les personnages, la manière de raconter
qui se rapproche davantage de la poésie que de la prose...
»
« Une fois terminé, bien que l'on n'ait pas une image
parfaite, la magie exerce son pouvoir. On en ressort plus calme
et un peu plus en communion avec l'univers qui nous entoure. »
(Daniel S. Cartier, «Les
grands trous noirs entre deux univers», Zone, Mars
2000)
Ce qu'on a pensé
de Jardin d'attente... :
« Ce qu'il importe de souligner, c'est l'extraordinaire
souffle romanesque qui habite l'oeuvre de cette romancière
à la plume lyrique et sensuelle.
Mourir, oublier, renaître: ce sont là
les maîtres mots de cette excursion onirique au coeur de l'âme
humaine.
...la poésie, que l'on peut entendre comme
un synonyme de musique, imprègne chaque page d'Andrée
Laurier. Mieux encore, pour paraphraser Baudelaire, je dirai de
l'écriture du Jardin d'attente que comme la musique, elle
nous prend comme une mer. »
Stanley
Péan, La Presse, 6 mai 2001
« Les amoureux des récits d'aventure
seront captivés, surtout quand la narration les transportera
à Instanbul, étape sans pareille dans le parcours
d'Hélène.
...c'est avec une certaine délectation qu'on
accompagne cette héroïne (à sa façon)
dans ses voyages ponctués d'improbables coïncidences,
de rencontres tantôt révoltantes, tantôt pathétiques,
tantôt heureuses.
La douceur et le raffinement qui caractérisent
l'inscription de la mort réussissent à en dissiper
la réalité dramatique. Et l'on s'arrête, non
pour se lamenter, mais frappé par des mots si simples et
si familiers, intelligemment combinés, apaisants. »
Osée Kamga, Ici,
28 avril 2001
«Andrée Laurier a vraiment ses inconditionnels,
il y a eu une presse dithyrambique...
C'est un univers tout à fait spécifique...
Elle a une écriture particulière, tout à fait
extraordinaire...»
«On comprend que c'est toute l'histoire de l'Amérique
du Nord, qui nous est racontée là...»
«J'ai lu ce roman, surtout, comme l'allégorie de toute
personne qui doit quitter un niveau de vie, un niveau de conscience,
pour franchir le pas vers l'inconnu.»
Aline Apostolska, émission
Multimédi'art, Radio-Canada (chaîne culturelle),
le 14 mai 2001.
«...la romancière ne trace jamais clairement
la ligne entre le rêve et la réalité... tout
est montré dans un clair-obscur étrange, qui fait
la voix unique d'Andrée Laurier, une voix mêlée
de poésie et de mysticisme...»
«...une écriture en dentelle, certes complexe, mais
fruit d'une maîtrise littéraire devant laquelle on
s'incline, chapeau bas.»
Tristan Malavoy-Racine, Voir,
28 juin 2001
«Évidemment, la plume d'Andrée
Laurier est délicieuse. Poétique, elliptique, elle
séduit encore une fois. Les descriptions d'états d'âme,
de confilts et d'atmosphères recèlent juste ce qu'il
faut de détails pour être évocatrices sans toutefois
perdre leur délicate et pertinente aura de mystère.»
Sophie Pouliot, Le Devoir, les 23-24
juin 2001
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