Qui donc est Andrée Laurier…?
Il y a des jours où elle l’ignore elle-même, mais à tout prendre, elle a toujours voulu écrire au moins un livre depuis son enfance.
Bien sûr, il fallait d’abord apprendre à lire, à écrire et à compter. Ce faisant, Andrée Laurier s’est éprise de langues, jusqu’à étudier la traduction à l’Université de Montréal. Où elle est devenue polyglotte sans le faire exprès.
Elle a oublié qu’elle voulait écrire un livre. Assez longtemps. Elle s’est mise à gagner sa vie. Dans des bureaux souvent, dans des magazines parfois, dans un ou deux appartements de Montréal et d’Ottawa. Avec passages en banlieue. Et sur le Plateau Mont-Royal, il lui est venu un fils qu’on appelle Max. Ce qu’elle a réussi de mieux.
Elle a compris et accepté qu’elle serait écrivaine dans un camp littéraire au beau milieu d’un été propice. Elle publie depuis lors des romans et des novellas. La critique a souvent été généreuse à son endroit. Elle veut s’en montrer digne. (voir
extraits d'articles)
Quartiers
divers, nouvelles avec Claude Mercier, Anne-Michèle Lévesque, Daniel Giguère et Françoise Bell, Vents d’Ouest (1997).
L'étrange
maison d'Elseva, novella, Humanitas (1995). (Extrait)
L'Ajourée, roman, Vents d’Ouest (1998) ; XYZ (2008). (Extrait)
Mer
intérieure, roman, XYZ (2000) ; Lévesque éditeur (2013). (Extrait)
Le
jardin d'attente, roman, XYZ (2001) ; Lévesque éditeur (2013). (Extrait)
Horizons
navigables, roman, XYZ (2006). (Extrait)
Le Romanef, roman, Lévesque éditeur (2011).
Avant les sables, novella, Lévesque éditeur (2011).
|